Mer 12 Jan 2022 00:12
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BRAQUEURS DE LA ROUTE... ("306" vue Chevaline 16h15 + route D1508 16h45) .
L'agression s'ils en sont les hauteurs,ne se serait pas déroulée comme ils l'avaient prévu et en deux temps.
JE pense que ce genre de braqueurs auraient pu choisir le parking du Martinet parcequ'il est isolé mais aussi régulièrement fréquenté par des touristes en été, ils ne s'embarrassent pas de l'éventuelle venue de témoins sur les lieux qui assisteront à la scène sans bouger et verront les voleurs s'enfuient au volant du véhicule des victimes... Comme d'ab! et ça ne durera pas longtemps.
Pour des raisons de discrétion et surprise à l'attaque décision est prise de laisser deux gars sur le parking pendant que le troisième les attendra en bas, (Chevaline ou Doussard) ,en suite direction la maison pour tout le monde.
Voila! c'est ce qui est prévu..En gros!
Effectivement, les deux agresseurs restés sur le parking se sont dissimulés dans les fourrés bordants le petit parking et un premier véhicule arrive ;un 4x4 vert d'où descend un homme en costard, ça démarche assurée, son teint basané, et taillé comme un garde du corps Américain ne les rassurent pas... méfiance !,
C'est bon ! , après quelques pas sur le parking le lieu ne semble pas l'inspirer,il repart suivit quelques instants plus tard d'une moto débouchant de l'amont du parking.
A! voilà, un Brek Anglais arrive, les deux agresseurs se regardent, ok !, un seul homme, deux femmes et un ou deux enfants, ce sont les cibles idéales, on va dépouiller tout ce petit monde et redescendre avec leur bagnole... Tranquille !.
Voila pour la première partie... Sauf que !...
LE Break s'étant garé à proximité du panneau d'infos forestier, le père en descend avec sa plus grande fille pour le consulter et éventuellement entreprendre une petite ballade en famille. Soudain surgissent deux "lascars" armés et affublés de perruques blondes, le père stupéfait recule de quelques pas et se precipite instinctivement vers un cycliste qui vient d'arriver sur le parking, s'en suit alors une invraisemblable scène mais pourtant possible (comme souvent), le cycliste Silvain Mollier qui n'a pas encore vu le second agresseur resté vers le véhicule pour tenir les passagers en respect à une réaction très inattendue et s'interpose, il s'interpose pour une bonne raison c'est qu'il pense immédiatement que l'arme de l'agresseur, ce Luger sorti directement d'un filmé de la guerre de 1940 est une arme fictive.... Plus!, il descend de vélo et saisi à boud de bras le Luger d'où sortent immédiatement deux balles qui lui atteignent le corps.On imagine la suite;le deuxième agresseur reste pétrifié, le tueur presque par auto defence tir sur Mr Al-Hili et le touche avant qu'il ne reprenne place dans son vehicule en hurlant à sa fille de sauter dans la voiture. Tous s'emballe et s'enchaîne,dix secondes suffisent au tueur pour peser la situation et sa surprise fait place à une haine froide contre tout ce qui semble l'enfoncer.... Il ne retournera pas en prison. S'en suit l'atroce carnage et la fuite des deux agresseurs à toutes jambes dans la forêt.. direction Chevaline.
De 15h35 heure des crimes à 16h15 heure où une femme évite de justesse une 306[1]dans Chevaline les trois braqueurs ne s'étaient peut-être encore pas retrouvés,en comptant 10mn pour se rendre sur la D108 direction Annecy (heure ou la 306 à été vue doublant à vive allure[1]), dans ce cas, les deux braqueurs agresseurs n'auraent eu que ~~20mn maximum pour descendre du parking rejoindre la 306 aux abords de Chevaline....Très très rapide tout ça !
IL reste donc à penser que le conducteur de la 306 aurait rejoint ses deux complices revenus sur la route avant 15h15, puis redescendu traversé Chevaline évitant la femme témoin à 15h15. Reste alors à expliquer les 30mn pour se rendre sur la route d'Annecy...un peu long cette fois-ci... donc un arrêt, possiblement pour faire le point et que le conducteur brin passe se coucher sur la banquette arrière, ,les deux autres blonds perruquez prenants place à l'avant.
ON arriverait ainsi à un dénouement à condition que la 306 n'ait pas été vu par les maçons[1] alors occupez ailleurs qu'au bord de la route en bas de la montée de la combe de l'Ire.
Tirer par les cheveux ! ...
Mais je garde !