Affaire CZUBA

Dernièrement, un numérro d'"Affaires Criminelles" consacrait une partie de l'émission à l'affaire Czuba.
Une bien étrange affaire en vérité!
Laetitia Czuba est une jolie jeune femme blonde d'une trentaine d'années, employée de La Poste à Fréjus.Plutôt fragile psychologiquement, (elle serait"bipolaire") elle est réulièrementsuivie avec succès par un médecin.
Il lui arrive parfois de quitter son domicile de Fréjus pour aller dîner et dormir chez sa grad-mère qui vit dans une localité des Alpes Maritimes à une cinquantaine de kilomètres de son domicile.
Laetitia, qui vit une relation assez compliquée avec un homme marié, trouve chez sa grand-mère une façon de se ressourcer.
A la fin du mois de septembre 2012, Laetitia prépare donc ses affaires pour passer la soirée et dormir chez la vieille dame,puis prend sa voiture.
Mais jamais la jeune femme n'arrivera à destination.
Sa soeur, avec qui elle entretient des relations très étroites, s'étonne le lendemain de ne pas avoir de ses nouvelles, Laetitia lui téléphonant tous les joours.
Elle apprend par la grand-mère que Laetitia ne s'est pas rendue chez elle et, inquiète, elle contacte le bureau de poste de Fréjus:Laetitia, pourtant ponctuelle et sérieuse, ne s'est pas présentée à son travail.
Les parents, avertis de cette absence, écourtent leurs vacances et rentrent dans le Var où ils signalent la disparition de la jeune femme.
La dernière trace laissée en France par Laetitia est son passage au péage de l'autoroute qui va d'Antibes à Menton.Les caméras de surveillance ne permettent pas de distinguer la présence d'un éventuel passager.
Au bout de quelques jours, alors que l'enquête suit son cours, la police italienne signale que Laetitia, à bord de sa voiture, a pris à contresens l'autoroute côtière qui part de la frontière franco-italienne.Poursuivie par une voiture de police, elle parvient à échapper aux policiers en prenant une route secondaire menant à la station balnéaire de Bordighera: les enquêteurs italiens retrouvent sa voiture très mal garée sur un parking surplombant une résidence principalement habitée pendant l'été.
Le véhicuLe a ses portières ouvertes et les feux allumés.Une caméra de vidéo-surveillance placée dans la résidence, qui se trouve le long d'une petite plage,montre la jeune femme courant dans la nuit comme pour échapper à un poursuivant, puis enjambant une barrière qui sépare la résidence du bord de mer.
Les relations entre les policiers français et italiens s'avèrent plutôt difficiles.Les Italiens privilégient la piste du suicide par noyade sans trop "creuser" d'autres hypothèses.
Si on découvre le sac de voyage et le sac à main de Laetitia sur le chemin de la plage, son corps reste introuvable, qui aurait dû être ramené sur la grève par les courants ou retrouvé flottant en mer.
Les parents et la tante de Laetitia, désespérés, procèdent à leur propre enquête, allant chaque fin de journée à Bordighera dans l'espoir de trouver des indices significatifs.
Leur quête n'est pas vaine car une Italienne, qui vit sporadiquement avec son fils d'une quarantaine d'années dans l'appartement qu'elle possède dans la résidence,leur parle avec insistance de "scarpe" ("chaussures").Elle ne maîtrise pas le français et les intelocuteurs se "débrouillent" pour glaner des renseignements.
Plusieurs semaines après la disparition de Laetitia, alors que la plage et les extérieurs de la résidence ont été passés au peigne fin, la mère de la jeunes disparue trouve une paire de tongs soigneusemment posées sur le sable.Elle reconnaît celles portées par sa fille et s'étonne qu'elles ne soient abolument pas abîmées par un possible séjour prolongé dans l'eau.
Ce jour-là, l'Italienne, rencontrée au début de leurs recherches,est présente dans la résidence.Elle invite aimablement la famille-qui parle assez bien l'italien- à entrer chez elle.Les parents et la tante de Laetitia découvrent avec stupéfaction
que sur la cheminée du salon sont posés de nombreux cadres où apparaît le visage de Laetitia.Toutes les photos ont été découpées dans les journaux relatant sa disparition!
A l'évocation de la jeune femme, la vieille dame éclate en sanglots et fait bientôt une bien étrange révélation à la famille:
Elle leur dit que,juste avant l'arrivée de Laetitia à la résidence, elle aurait vu de sa fenêtre un homme faire des cent pas sur un petit chemin aboutissant à la plage.
Elle le décrit avec un luxe de détails très étonnants puisqu'à l'heure où elle aurait vu cet individu, la nuit était déjà tombée.Elle le décrit comme un homme au tein mat, de haute taille, vêtu avec élégance et donne un tas de détails sur ses vêtements,chose surprenante puisqu'elle dit l'avoir aperçu dans l'ombre!
Pourquoi cette femme âgée a-telle dès qu'elle a croisé la famille de Laetitia , parlé de "scarpe".Faisait-elle allusion à la paire de tongs découverte un mois après par la mère de la disparue?
Pourquoi s'est-elle mise à sangloter en évoquant la jeune femme et pourquoi avait-elle disposé sur sa cheminée autant de photos la représentant?
Pourquoi et comment, enfin, a-t-elle pu donner avec minutie la description d'un mystérieux personnage dont elle n'aurait pu, en toute logique, percevoir autant de détails en pleine nuit et depuis sa fenêtre?
La famille de Laetitia est persuadée qu'elle dissimule quelque chose. On pourrait commprendre qu'habitant la résidence, elle ait été intéressée par l'enquête au point de rassembler des coupures de presse concernant la disparition...Mais quelle que soit la sympathie éprouvée pour une disparue et ses parents ,cela ne justifie en rien qu'on collectionne ses photos mise en évidence dans le salon,qu'on fonde en larmes à son évocation et surtout qu'on ait parlé de chaussures des semaines avant que la mère de la jeune femme ne découvre les tongs?
Quel rôle a-t-elle joué dans cette affaire?
Quel a pu être le rôle de son fils?
Cherche-t-elle par ses réactions excessives, à soulager sa conscience d'un secret jalousement caché?
La police italienne l'a interrogée des mois,voire deux ou trois ans après la disparition, après que les parents de Laetitia ont fait part aux enquêteurs français des déclarations et de l'étrange attitude de cette femme.
Cet interrogatoire n'a manifestement rien donné, ce qui semble surprenant.
Que faisait Laetitia sur une autoroute italienne prise à contresens et qui ou que fuyait-elle en courant éperdument en direction de la plage longeant une résidence inconnue(?) devant laquelle elle venait de laisser sa voiture ouverte et tous feux allumés?
Depuis 2012, la famille effondrée voudrait connaître la vérité.
Une bien étrange affaire en vérité!
Laetitia Czuba est une jolie jeune femme blonde d'une trentaine d'années, employée de La Poste à Fréjus.Plutôt fragile psychologiquement, (elle serait"bipolaire") elle est réulièrementsuivie avec succès par un médecin.
Il lui arrive parfois de quitter son domicile de Fréjus pour aller dîner et dormir chez sa grad-mère qui vit dans une localité des Alpes Maritimes à une cinquantaine de kilomètres de son domicile.
Laetitia, qui vit une relation assez compliquée avec un homme marié, trouve chez sa grand-mère une façon de se ressourcer.
A la fin du mois de septembre 2012, Laetitia prépare donc ses affaires pour passer la soirée et dormir chez la vieille dame,puis prend sa voiture.
Mais jamais la jeune femme n'arrivera à destination.
Sa soeur, avec qui elle entretient des relations très étroites, s'étonne le lendemain de ne pas avoir de ses nouvelles, Laetitia lui téléphonant tous les joours.
Elle apprend par la grand-mère que Laetitia ne s'est pas rendue chez elle et, inquiète, elle contacte le bureau de poste de Fréjus:Laetitia, pourtant ponctuelle et sérieuse, ne s'est pas présentée à son travail.
Les parents, avertis de cette absence, écourtent leurs vacances et rentrent dans le Var où ils signalent la disparition de la jeune femme.
La dernière trace laissée en France par Laetitia est son passage au péage de l'autoroute qui va d'Antibes à Menton.Les caméras de surveillance ne permettent pas de distinguer la présence d'un éventuel passager.
Au bout de quelques jours, alors que l'enquête suit son cours, la police italienne signale que Laetitia, à bord de sa voiture, a pris à contresens l'autoroute côtière qui part de la frontière franco-italienne.Poursuivie par une voiture de police, elle parvient à échapper aux policiers en prenant une route secondaire menant à la station balnéaire de Bordighera: les enquêteurs italiens retrouvent sa voiture très mal garée sur un parking surplombant une résidence principalement habitée pendant l'été.
Le véhicuLe a ses portières ouvertes et les feux allumés.Une caméra de vidéo-surveillance placée dans la résidence, qui se trouve le long d'une petite plage,montre la jeune femme courant dans la nuit comme pour échapper à un poursuivant, puis enjambant une barrière qui sépare la résidence du bord de mer.
Les relations entre les policiers français et italiens s'avèrent plutôt difficiles.Les Italiens privilégient la piste du suicide par noyade sans trop "creuser" d'autres hypothèses.
Si on découvre le sac de voyage et le sac à main de Laetitia sur le chemin de la plage, son corps reste introuvable, qui aurait dû être ramené sur la grève par les courants ou retrouvé flottant en mer.
Les parents et la tante de Laetitia, désespérés, procèdent à leur propre enquête, allant chaque fin de journée à Bordighera dans l'espoir de trouver des indices significatifs.
Leur quête n'est pas vaine car une Italienne, qui vit sporadiquement avec son fils d'une quarantaine d'années dans l'appartement qu'elle possède dans la résidence,leur parle avec insistance de "scarpe" ("chaussures").Elle ne maîtrise pas le français et les intelocuteurs se "débrouillent" pour glaner des renseignements.
Plusieurs semaines après la disparition de Laetitia, alors que la plage et les extérieurs de la résidence ont été passés au peigne fin, la mère de la jeunes disparue trouve une paire de tongs soigneusemment posées sur le sable.Elle reconnaît celles portées par sa fille et s'étonne qu'elles ne soient abolument pas abîmées par un possible séjour prolongé dans l'eau.
Ce jour-là, l'Italienne, rencontrée au début de leurs recherches,est présente dans la résidence.Elle invite aimablement la famille-qui parle assez bien l'italien- à entrer chez elle.Les parents et la tante de Laetitia découvrent avec stupéfaction
que sur la cheminée du salon sont posés de nombreux cadres où apparaît le visage de Laetitia.Toutes les photos ont été découpées dans les journaux relatant sa disparition!
A l'évocation de la jeune femme, la vieille dame éclate en sanglots et fait bientôt une bien étrange révélation à la famille:
Elle leur dit que,juste avant l'arrivée de Laetitia à la résidence, elle aurait vu de sa fenêtre un homme faire des cent pas sur un petit chemin aboutissant à la plage.
Elle le décrit avec un luxe de détails très étonnants puisqu'à l'heure où elle aurait vu cet individu, la nuit était déjà tombée.Elle le décrit comme un homme au tein mat, de haute taille, vêtu avec élégance et donne un tas de détails sur ses vêtements,chose surprenante puisqu'elle dit l'avoir aperçu dans l'ombre!
Pourquoi cette femme âgée a-telle dès qu'elle a croisé la famille de Laetitia , parlé de "scarpe".Faisait-elle allusion à la paire de tongs découverte un mois après par la mère de la disparue?
Pourquoi s'est-elle mise à sangloter en évoquant la jeune femme et pourquoi avait-elle disposé sur sa cheminée autant de photos la représentant?
Pourquoi et comment, enfin, a-t-elle pu donner avec minutie la description d'un mystérieux personnage dont elle n'aurait pu, en toute logique, percevoir autant de détails en pleine nuit et depuis sa fenêtre?
La famille de Laetitia est persuadée qu'elle dissimule quelque chose. On pourrait commprendre qu'habitant la résidence, elle ait été intéressée par l'enquête au point de rassembler des coupures de presse concernant la disparition...Mais quelle que soit la sympathie éprouvée pour une disparue et ses parents ,cela ne justifie en rien qu'on collectionne ses photos mise en évidence dans le salon,qu'on fonde en larmes à son évocation et surtout qu'on ait parlé de chaussures des semaines avant que la mère de la jeune femme ne découvre les tongs?
Quel rôle a-t-elle joué dans cette affaire?
Quel a pu être le rôle de son fils?
Cherche-t-elle par ses réactions excessives, à soulager sa conscience d'un secret jalousement caché?
La police italienne l'a interrogée des mois,voire deux ou trois ans après la disparition, après que les parents de Laetitia ont fait part aux enquêteurs français des déclarations et de l'étrange attitude de cette femme.
Cet interrogatoire n'a manifestement rien donné, ce qui semble surprenant.
Que faisait Laetitia sur une autoroute italienne prise à contresens et qui ou que fuyait-elle en courant éperdument en direction de la plage longeant une résidence inconnue(?) devant laquelle elle venait de laisser sa voiture ouverte et tous feux allumés?
Depuis 2012, la famille effondrée voudrait connaître la vérité.